+1 for fedora kde
I’ve tried dozens of distros this year. Kept arch for my personal use and fedora for shared. Fedora was the easiest to setup with everything working as they should out of the “box”.
unless you use a touchscreen, don’t install gnome
that would mean the death of street photography. Do you have any sources for those cases?
photographing in public space is still a right. There are exceptions, but they are understandable.
it very much depends on the context.
https://consultation.avocat.fr/blog/murielle-isabelle-cahen/article-2969238-a-t-on-le-droit-de-photographier-des-inconnus-dans-la-rue.html
1. Les limites du droit à l'image Bien que le droit à l'image soit un principe fondamental, il existe certaines exceptions qui permettent une captation et une diffusion d'images sans le consentement préalable de la personne photographiée. Ces exceptions sont généralement liées à des intérêts publics ou à des contextes spécifiques : - Les lieux publics et le droit à l'information : Dans les espaces publics, la captation d'images est souvent permise, notamment dans le cadre d'événements d'intérêt général (manifestations, cérémonies, etc.). Cependant, même dans ces cas, la diffusion de ces images peut être soumise à des conditions strictes. Par exemple, la diffusion d'une image prise lors d'un événement public ne doit pas dénaturer le propos ou porter atteinte à la réputation des personnes présentes. - Les personnes publiques : Les personnalités publiques, telles que les politiciens, les artistes ou les sportifs, bénéficient d'une protection moins stricte de leur droit à l'image. En effet, leur statut entraîne une certaine forme de renonciation à ce droit lorsqu'ils apparaissent dans des contextes liés à leur activité professionnelle. Toutefois, cela ne signifie pas qu'ils sont dépourvus de droits ; toute exploitation commerciale de leur image nécessite souvent une autorisation. - L'usage artistique : Dans le cadre de la création artistique, certaines œuvres peuvent utiliser des images de personnes identifiables sans leur consentement, à condition que l'œuvre ait un caractère artistique et ne porte pas atteinte à la dignité de la personne représentée. Cette notion est cependant sujette à interprétation et peut donner lieu à des litiges.